II- Intérêts de la cryothérapie sur notre corps :
Lors de la cryothérapie, notre corps met en place de nombreuses réactions physiologiques qui améliorent la circulation générale, favorisent l’élimination des toxines et stimulent la production des hormones du bien-être.
En effet, le froid permet de ralentir la réaction nerveuse, il envoi comme un message au cerveau afin de réduire la douleur, le froid a comme un effet d’anesthésiant. Il permet aux vaisseaux de se contracter, cela signifie qu’ils se réduisent et qu'en conséquent le débit sanguin diminue et il y a alors une diminution du gonflement.
1. Quel est le rôle de la vasoconstriction?
Nous avons trouvé dans nos recherches que la cryothérapie sur un muscle provoquait une vasoconstriction (diminution du calibre des vaisseaux sanguins par contraction de leurs cellules musculaires) au niveau des vaisseaux sanguins.
Que se passe-t-il au niveau des vaisseaux sanguins ? Nous pensons que lors de la cryothérapie les vaisseaux sanguins extérieurs aux muscles se rétractent, ce qaui provoquera une augmentation du diamètre des vaisseaux sanguins intérieurs aux muscles.
Protocole expérimental :
-Prendre deux muscles, un frai et un témoin (chaud)
-Couper les deux muscles en deux de façon à pouvoir observer les vaisseaux sanguins
-Prendre une photo de l'intérieur de ces deux muscles
-Observer la taille des vaisseaux sanguins de chacun des deux muscles à l'aide du logiciel « mesurim »
-Comparer les résultats.
Malheureusement, nous avons rien pu voir de convainquant. En effet nous nous sommes rendu compte qu'il serait trop compliqué de couper un morceau de muscles dans lequel on pourrait y trouver un vaisseau sanguin sans trop l’abîmer.
Nous avons donc été obligées de nous rendre à l'évidence et de voir qu'il ne serait pas possible d’arriver à faire une expérience avec des résultat concluant sur le concept de la vasoconstriction.
Nous avons donc cherché en quoi consistais la vasoconstriction et comment était-elle mise en place lors de la cryothérapie. On sait aujourd'hui que durant l'exposition au froid, on trouve une alternance de vasodilatation et de vasoconstriction appelé « Hunting Reaction » ou Échappement qui est dû à une affinité entre les récepteurs a adrénergiques.
La vasodilatation correspond à une hyperhémie de protection. Pour cela, la température tissulaire doit être comprise entre 7 et 12°C.
Le refroidissement tissulaire provoque une courte vasoconstriction artériolaire et capillaire obtenue par voie réflexe. La vasoconstriction est responsable d'une diminution de la sortie du flux sanguins, d'une diminution de la pression hydrostatique et donc d'une diminution de la sortie de liquide limitant ainsi l'infiltration plasmatique responsable du volume de l’œdème. Il faut comprendre que le froid n'empêche pas la sortie de liquide indispensable à la réparation des tissus mais ne fait que la ralentir. Toutefois, ce ralentissement et largement compensé par la réduction des effets néfastes de l’œdème.
2. Que fait l'oxygène dans le muscle ?
Nous avons trouvé dans nos recherches que la cryothérapie provoquait des changements de l'oxygénation du muscle.
Comment varie le taux d'oxygène dans le muscle ?
Nous pensons que la cryothérapie permet une meilleure oxygénation et qu'en conséquent le taux d'oxygène augmente dans le muscle.
Protocole expérimental :
-Prendre deux muscles, un frai et un témoin (chaud)
-Insérer la sonde à oxygène dans le muscle
-Mesurer le taux d'oxygène de chacun des muscles
-Observer les valeurs obtenues
-Comparer les résultats
Au bout d'une minute, nous avons relevé le taux de dioxygène qui était de 0,9 mg/L-1. Nous avons fait de même pour le muscle froid et nous avons obtenu 2,7 mg/L-1.
Nous pouvons constater avec l'aide des expériences que le taux d'oxygène dans le muscle est plus élevé lorsque le muscle est frais.
On en déduit que lors d’un effort physique le taux d’oxygène dans le sang est très important et est indispensable au fonctionnement du muscle. Lorsqu’il y a un manque d’oxygène, on peut alors voir l’apparition de douleur car le corps consomme alors tout l’acide lactique (le sucre) que le sang à en réserve.
C’est alors qu’intervient la récupération à l’aide de la cryothérapie qui va permettre au muscle une ré-oxygénation normale, donc une amélioration de l’effort physique qui suivra, une diminution énorme des douleurs musculaires et des courbatures après l’effort.
On peut donc en conclure que la cryothérapie améliore l'oxygénation dans le muscle.
3. Comment varie le débit sanguin ?
Nous avons pu constater lors de nos recherches que le débit sanguin n’était pas le même après la cryothérapie. Nous avons donc cherché à savoir comment celui-ci changeait en faisant une expérience.
Que se passe-t-il au niveau du débit sanguin avec la cryothérapie ?
Nous pensons que le débit sanguin est favorisé avec la cryothérapie.
Protocole expérimental :
-Prendre les résultats de la vasoconstriction et utiliser nos connaissances
Malheureusement, pour pouvoir faire correctement l'expérience et pouvoir aboutir à des résultats concrets, nous avions besoin des résultats de notre expérience sur la vasoconstriction. Or, celle-ci n'ayant pas fonctionnée, nous n’avons donc pas eu d'autres choix que d'abandonner cette expérience.
Nous savons tout de même que le flux sanguins est amélioré lors de la cryothérapie grâce à l’enchaînement de la vasoconstriction et de la vasodilatation. Qui sont respectivement une diminution du calibre des vaisseaux sanguins et par la suite grâce au froid de la cryothérapie une augmentation et dilatation de ces vaisseaux.
En effet lors d'un effort physique le rythme cardiaque augmente et le besoin du muscle en sang et nutriments aussi. Alors afin de combler et satisfaire les besoins du muscle en sang le débit sanguin augmente. L'augmentation du débit sanguin va faciliter l'élimination des toxines du corps qui sont des déchets : bactéries, dioxyde de carbone...
La cryothérapie permet donc à l'organisme de retrouver un débit sanguin normal et de plus le froid intense tout comme l'effort physique aide l'élimination des déchets.
4. Que se passe-t-il pour les déchets ?
Nous avons observé lors de nos recherches que la cryothérapie favorisait l'élimination des déchets.
Que font les déchets dans le sang ?
Nous pensons que l'élimination des déchets est favorisée.
Protocole expérimental :
-Prendre les résultats de l'expérience de la vasoconstriction
-Utiliser nos connaissances
Lors de nos expériences nous étions sensées prendre appui sur les résultats obtenus lors de la vasoconstriction pour prouver que celle-ci permettait l'élimination des déchets. L'expérience sur la vasoconstriction n'ayant pas marché, nous nous sommes donc référées à nos recherches.
Lors de la cryothérapie, le débit sanguin augmente, donc par conclusion, l'élimination des déchets se fait plus facilement. En effet, les déchets étant dans le sang, lorsque le débit sanguin est favorisait, les déchets s'éliminent plus facilement. Ces déchets sont appelés toxines. La principale toxine qui est facilement rejetée lors de la cryothérapie est l'acide lactique.
L'acide lactique est sécrété par un muscle qui se contracte dans un environnement pauvre en oxygène par exemple quand l'effort fourni est intense et prolongé. Il est le résultat de l’utilisation du glucose, la glycolyse :
La glycolyse est un processus libérateur d'énergie ayant lieu dans le cytoplasme de toutes les cellules, au cours duquel le glucose est dégradé pour fournir de l’énergie.
L’acide lactique :
L’acide lactique est produit par les muscles lorsque ceux-ci ont utilisé leurs réserves d’énergies habituelles, mais qu’ils en ont encore un besoin intense. De petites quantités d’acide lactique servent de sources d’énergie temporaires et permettent d’éviter une sensation de fatigue.
5. Y'a t-il un changement dans la température cutanée ?
Nous avons pu constater lors de nos recherches que lors de la cryothérapie, la température cutanée du corps changeait. Nous avons donc voulu chercher à l'aide d'expérience comment variait la température cutanée d'un corps.
Comment varie la température cutanée du corps avec la cryothérapie ?
Nous pensons que lors de la cryothérapie la température cutanée du muscle diminue.
Protocole expérimental :
-Prendre deux muscles, un frai et un témoin (chaud)
-Prendre un thermomètre
-Insérer le thermomètre dans les deux muscles chacun leur tour
-Mesurer la température
-Comparer les résultats
Pour le muscle sorti du congélateur, nous avons obtenu 0,2 °C et pour le muscle à température ambiante, nous avons obtenu 37,7 °C. Grâce à ces résultats, nous avons pu conclure que nous avions raison, donc que la température cutanée d'un corps diminuait grâce à la cryothérapie. En effet celle-ci provoque bien un choc thermique.
Lorsque la température cutanée est amenée en dessous de 15°C, le froid entraîne un ralentissement de la conduction nerveuse.
Mais il faut savoir qu'à l'intérieur du corps la température ne peut pas être inférieure à environ 35°C sans créer de lésions nerveuses, car le corps laisse son extérieur se refroidir mais canalise le sang chaud vers le cerveau et les organes vitaux pour les protégés. Aux extrémités du corps, on peut fixer cette température limite entre 5 et 7 °C.
Lors de la cryothérapie, notre corps met en place de nombreuses réactions physiologiques qui améliorent la circulation générale, favorisent l’élimination des toxines et stimulent la production des hormones du bien-être.
En effet, le froid permet de ralentir la réaction nerveuse, il envoi comme un message au cerveau afin de réduire la douleur, le froid a comme un effet d’anesthésiant. Il permet aux vaisseaux de se contracter, cela signifie qu’ils se réduisent et qu'en conséquent le débit sanguin diminue et il y a alors une diminution du gonflement.
1. Quel est le rôle de la vasoconstriction?
Nous avons trouvé dans nos recherches que la cryothérapie sur un muscle provoquait une vasoconstriction (diminution du calibre des vaisseaux sanguins par contraction de leurs cellules musculaires) au niveau des vaisseaux sanguins.
Que se passe-t-il au niveau des vaisseaux sanguins ? Nous pensons que lors de la cryothérapie les vaisseaux sanguins extérieurs aux muscles se rétractent, ce qaui provoquera une augmentation du diamètre des vaisseaux sanguins intérieurs aux muscles.
Protocole expérimental :
-Prendre deux muscles, un frai et un témoin (chaud)
-Couper les deux muscles en deux de façon à pouvoir observer les vaisseaux sanguins
-Prendre une photo de l'intérieur de ces deux muscles
-Observer la taille des vaisseaux sanguins de chacun des deux muscles à l'aide du logiciel « mesurim »
-Comparer les résultats.
Malheureusement, nous avons rien pu voir de convainquant. En effet nous nous sommes rendu compte qu'il serait trop compliqué de couper un morceau de muscles dans lequel on pourrait y trouver un vaisseau sanguin sans trop l’abîmer.
Nous avons donc été obligées de nous rendre à l'évidence et de voir qu'il ne serait pas possible d’arriver à faire une expérience avec des résultat concluant sur le concept de la vasoconstriction.
Nous avons donc cherché en quoi consistais la vasoconstriction et comment était-elle mise en place lors de la cryothérapie. On sait aujourd'hui que durant l'exposition au froid, on trouve une alternance de vasodilatation et de vasoconstriction appelé « Hunting Reaction » ou Échappement qui est dû à une affinité entre les récepteurs a adrénergiques.
La vasodilatation correspond à une hyperhémie de protection. Pour cela, la température tissulaire doit être comprise entre 7 et 12°C.
Le refroidissement tissulaire provoque une courte vasoconstriction artériolaire et capillaire obtenue par voie réflexe. La vasoconstriction est responsable d'une diminution de la sortie du flux sanguins, d'une diminution de la pression hydrostatique et donc d'une diminution de la sortie de liquide limitant ainsi l'infiltration plasmatique responsable du volume de l’œdème. Il faut comprendre que le froid n'empêche pas la sortie de liquide indispensable à la réparation des tissus mais ne fait que la ralentir. Toutefois, ce ralentissement et largement compensé par la réduction des effets néfastes de l’œdème.
2. Que fait l'oxygène dans le muscle ?
Nous avons trouvé dans nos recherches que la cryothérapie provoquait des changements de l'oxygénation du muscle.
Comment varie le taux d'oxygène dans le muscle ?
Nous pensons que la cryothérapie permet une meilleure oxygénation et qu'en conséquent le taux d'oxygène augmente dans le muscle.
Protocole expérimental :
-Prendre deux muscles, un frai et un témoin (chaud)
-Insérer la sonde à oxygène dans le muscle
-Mesurer le taux d'oxygène de chacun des muscles
-Observer les valeurs obtenues
-Comparer les résultats
Au bout d'une minute, nous avons relevé le taux de dioxygène qui était de 0,9 mg/L-1. Nous avons fait de même pour le muscle froid et nous avons obtenu 2,7 mg/L-1.
Nous pouvons constater avec l'aide des expériences que le taux d'oxygène dans le muscle est plus élevé lorsque le muscle est frais.
On en déduit que lors d’un effort physique le taux d’oxygène dans le sang est très important et est indispensable au fonctionnement du muscle. Lorsqu’il y a un manque d’oxygène, on peut alors voir l’apparition de douleur car le corps consomme alors tout l’acide lactique (le sucre) que le sang à en réserve.
C’est alors qu’intervient la récupération à l’aide de la cryothérapie qui va permettre au muscle une ré-oxygénation normale, donc une amélioration de l’effort physique qui suivra, une diminution énorme des douleurs musculaires et des courbatures après l’effort.
On peut donc en conclure que la cryothérapie améliore l'oxygénation dans le muscle.
3. Comment varie le débit sanguin ?
Nous avons pu constater lors de nos recherches que le débit sanguin n’était pas le même après la cryothérapie. Nous avons donc cherché à savoir comment celui-ci changeait en faisant une expérience.
Que se passe-t-il au niveau du débit sanguin avec la cryothérapie ?
Nous pensons que le débit sanguin est favorisé avec la cryothérapie.
Protocole expérimental :
-Prendre les résultats de la vasoconstriction et utiliser nos connaissances
Malheureusement, pour pouvoir faire correctement l'expérience et pouvoir aboutir à des résultats concrets, nous avions besoin des résultats de notre expérience sur la vasoconstriction. Or, celle-ci n'ayant pas fonctionnée, nous n’avons donc pas eu d'autres choix que d'abandonner cette expérience.
Nous savons tout de même que le flux sanguins est amélioré lors de la cryothérapie grâce à l’enchaînement de la vasoconstriction et de la vasodilatation. Qui sont respectivement une diminution du calibre des vaisseaux sanguins et par la suite grâce au froid de la cryothérapie une augmentation et dilatation de ces vaisseaux.
En effet lors d'un effort physique le rythme cardiaque augmente et le besoin du muscle en sang et nutriments aussi. Alors afin de combler et satisfaire les besoins du muscle en sang le débit sanguin augmente. L'augmentation du débit sanguin va faciliter l'élimination des toxines du corps qui sont des déchets : bactéries, dioxyde de carbone...
La cryothérapie permet donc à l'organisme de retrouver un débit sanguin normal et de plus le froid intense tout comme l'effort physique aide l'élimination des déchets.
4. Que se passe-t-il pour les déchets ?
Nous avons observé lors de nos recherches que la cryothérapie favorisait l'élimination des déchets.
Que font les déchets dans le sang ?
Nous pensons que l'élimination des déchets est favorisée.
Protocole expérimental :
-Prendre les résultats de l'expérience de la vasoconstriction
-Utiliser nos connaissances
Lors de nos expériences nous étions sensées prendre appui sur les résultats obtenus lors de la vasoconstriction pour prouver que celle-ci permettait l'élimination des déchets. L'expérience sur la vasoconstriction n'ayant pas marché, nous nous sommes donc référées à nos recherches.
Lors de la cryothérapie, le débit sanguin augmente, donc par conclusion, l'élimination des déchets se fait plus facilement. En effet, les déchets étant dans le sang, lorsque le débit sanguin est favorisait, les déchets s'éliminent plus facilement. Ces déchets sont appelés toxines. La principale toxine qui est facilement rejetée lors de la cryothérapie est l'acide lactique.
L'acide lactique est sécrété par un muscle qui se contracte dans un environnement pauvre en oxygène par exemple quand l'effort fourni est intense et prolongé. Il est le résultat de l’utilisation du glucose, la glycolyse :
La glycolyse est un processus libérateur d'énergie ayant lieu dans le cytoplasme de toutes les cellules, au cours duquel le glucose est dégradé pour fournir de l’énergie.
L’acide lactique :
-
Est responsable des courbatures
-
Est
responsable des crampes
-
Est
responsable de l’acidose musculaire (= acidité importante des
muscles qui survient lors d’un effort prolongé, effectué au delà
du seuil anaérobie.)
-
Se cumule
dans le muscle et le raidit
-
Est
responsable de la fatigue musculaire
-
Est
responsable de l’accélération de la ventilation
L’acide lactique est produit par les muscles lorsque ceux-ci ont utilisé leurs réserves d’énergies habituelles, mais qu’ils en ont encore un besoin intense. De petites quantités d’acide lactique servent de sources d’énergie temporaires et permettent d’éviter une sensation de fatigue.
5. Y'a t-il un changement dans la température cutanée ?
Nous avons pu constater lors de nos recherches que lors de la cryothérapie, la température cutanée du corps changeait. Nous avons donc voulu chercher à l'aide d'expérience comment variait la température cutanée d'un corps.
Comment varie la température cutanée du corps avec la cryothérapie ?
Nous pensons que lors de la cryothérapie la température cutanée du muscle diminue.
Protocole expérimental :
-Prendre deux muscles, un frai et un témoin (chaud)
-Prendre un thermomètre
-Insérer le thermomètre dans les deux muscles chacun leur tour
-Mesurer la température
-Comparer les résultats
Pour le muscle sorti du congélateur, nous avons obtenu 0,2 °C et pour le muscle à température ambiante, nous avons obtenu 37,7 °C. Grâce à ces résultats, nous avons pu conclure que nous avions raison, donc que la température cutanée d'un corps diminuait grâce à la cryothérapie. En effet celle-ci provoque bien un choc thermique.
Lorsque la température cutanée est amenée en dessous de 15°C, le froid entraîne un ralentissement de la conduction nerveuse.
Mais il faut savoir qu'à l'intérieur du corps la température ne peut pas être inférieure à environ 35°C sans créer de lésions nerveuses, car le corps laisse son extérieur se refroidir mais canalise le sang chaud vers le cerveau et les organes vitaux pour les protégés. Aux extrémités du corps, on peut fixer cette température limite entre 5 et 7 °C.